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Selon une nouvelle étude, les femmes âgées qui souffrent d'une somnolence diurne croissante sur une période de cinq ans courent deux fois plus de risques de développer une démence. L'étude, publiée dans Neurology, a suivi des femmes octogénaires et a mis en évidence des liens évidents entre l'évolution des habitudes de sommeil et le risque de démence. Les chercheurs de l'Université de Californie, à San Francisco, ont observé que si les résultats ne prouvent pas que la somnolence diurne est à l'origine de la démence, ils démontrent une association significative entre les deux.
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